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Géographiquement parlant, difficile de trouver un adversaire plus éloigné de la France que l’Australie. Par conséquent, les rencontres entre les deux nations ne sont pas nombreuses dans l’histoire, avec cinq affrontements au total. Malgré la faible quantité de confrontations, les Bleus ne sont pas invaincus contre le sélection australienne, s’étant déjà inclinés à une reprise, il y a plus de 20 ans.
Focus sur le passif entre les deux sélections.
🇦🇺 En 2001, l'Australie établissait le record de la plus large victoire en match officiel… Un score de forfait aurait sans doute fait l'affaire… 😂
Australia 31-0 American Samoa pic.twitter.com/jMPzuwGM5l
— bwin🔞 (@bwin_France) April 14, 2021
Des rencontres souvent serrées
Si l’Australie n’est que 38e au classement FIFA, cela ne signifie pas que cette sélection est un adversaire à prendre à la légère. Depuis le premier match amical remporté en 1994 (1-0), les Bleus ont disputé quatre autres rencontres contre les Socceroos, avec un bilan total de 3 victoires, un nul et une défaite. Hormis la victoire 6-0 en amical en 2013, la sélection tricolore ne s’est jamais imposée largement contre l’Australie, à l’image de la victoire étriquée (2-1) au cours du Mondial 2018. Les deux équipes se sont également quittées sur un match nul 1-1 en amical, en novembre 2001.
Une défaite historique
Pire encore, les Bleus se sont donc déjà inclinés contre cet adversaire, et qui plus est dans une rencontre officielle. Lors de la phase de poules de la Coupe des Confédérations 2001, l’équipe de France s’incline par la plus petite des marges, face à une surprenante équipe australienne. La sélection tricolore remportera quelques jours plus tard la compétition en battant en finale le Japon, tombeur des Australiens en demi-finale. Malgré une fin heureuse pour les Bleus, cette rencontre reste dans l’histoire comme le seul échec contre les Socceroos. A quelques jours de retrouver la sélection australienne, les hommes de Didier Deschamps seraient bien inspirés de ne pas prendre cet adversaire à la légère, en se basant notamment sur l’affrontement d’il y a quatre ans.